À la une !
Une émule, un imitateur…
Repas clandestins : le cercle s’élargit !
La soirée « clandestine » mise à jour par M6
« un poisson d'avril » selon l'un des organisateurs... mais si l'on en croit les documents que nous publions ici, la farce aurait débuté depuis le 11 mars... au moins !
Décédé le 31/12, Olivier Royant, directeur de l’hebdomadaire :
du bois dont on fait Paris Match…
Dans les années 1980, grand reporter à RTL, afin de rester proche de la presse écrite dont je suis issu, j’assurais une pige à Paris Match. Elle durera quelque trois ans. À l’époque, le boss à Match, s’appelle Roger Thérond, surnommé l’ «œil», tant ses choix photo étaient incontournables.
Un énième “ rebondissement “ dans l’affaire Grégory...
La seule question qui vaille et que pose aujourd'hui un livre paru récemment* : Quand Murielle Bolle a-t-elle dit la vérité ?
La pétillante rousse de cette affaire, qui n'en finit décidément pas, est depuis le début le verrou de l'enquête.
Procès Charlie : tout sera-t-il évoqué à la barre ?
Parlera-t-on des erreurs commises dans la protection de la rédaction du journal satirique et les dessous de la mort du policier Mérabet ...
Un seul de ses collègues a eu le courage d'écrire dans un rapport ce qui s'était réellement passé après l'attentat dans les locaux de Charlie, au moment où le gardien de la paix Ahmed Mérabet a décidé de se lancer à la poursuite des tueurs. Ce policier est une femme. Elle était le « chef de bord » de la voiture de patrouille conduite par ce dernier. À l'arrière avait pris place un « ADS », un adjoint de sécurité. La franchise de cette jeune femme lui a même été reprochée par des collègues, alors qu'elle était déjà dans un terrible état dépressionnaire, coupable qu'elle se sentait de n'avoir rien fait pour aider son ami.
Le tombeur de Jacques Mesrine a lâché la rampe…
Souvenirs d’un très grand poulet
Au risque de passer pour un vilain garçon, je l’écris sans haine et sans crainte : si Lucien Aimé Blanc (LAB pour les intimes) n’avait pas existé, Jacques Mesrine n’aurait sans doute jamais été neutralisé le 1er novembre 1979. Et, allons encore plus loin, si l’opération avait été menée de bout en bout par l’Office centrale de répression du banditisme (OCRB), dirigé par celui que l’on apostrophait sympathiquement à grands coups de « Lulu », peut-être l’ennemi public N°1 de l’époque n’aurait pas été troué de plus de balles qu’il en faut pour mourir… Je me souviens de « Lulu », acceptant de répondre à quelques questions à mon micro de RTL. C’était à l’issue de la conférence de presse triomphante du ministre de l’Intérieur, accompagné du directeur central de la PJ, de son homologue du 36 Quai des Orfèvres et du procureur général de Paris.
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